Les chauve-souris fréquentent régulièrement les vignobles girondins et sont susceptibles de rendre des services intéressants aux viticulteurs.
Après avoir fait la démonstration scientifique que les chauves-souris mangent les vers de la grappe, la LPO va tenter cette année d’aller un cran plus loin en évaluant la quantité de dégâts économisés par les viticulteurs grâce aux chauves-souris. Top départ d’une campagne d’un mois de terrain pour écouter les chauves-souris dans la vigne (voir photo) en parallèle de l'évaluation de l'activité des tordeuses à l'aide de pièges alimentaires. Les premiers résultats seront disponibles à l'automne.
Ce travail est rendu possible grâce à une collaboration fructueuse entre la LPO, l’INRA, Eliomys, le CIVB et les viticulteurs du site atelier Bacchus.
Installation de micros à ultrasons pour détecter et mesurer l'activité nocturne des chauve-souris au vignoble. (Crédit photo : INRA)